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Mathias Monet
— Compétences
— Bio
FR | EN

Cinéaste et photographe français né en 1992 à Cannes, Mathias Monet étudie la musique aux conservatoires de Cannes et de Montreuil avant d’être formé aux métiers du cinéma à la Fonderie de l'image en 2014.

En 2017, il part travailler un an comme photographe, avec les Talibés dans la banlieue de Dakar, au Sénégal. Il réalise une série de 150 portraits consacrée à ces enfants des rues, qu'il expose à Dakar puis à Paris la même année.

En 2018, Mathias Monet réalise un premier documentaire en partenariat avec la Guilde Européenne et l'association Vidome. Tourné au Bénin, « Les Contes de Kokoro » est sélectionné dans plusieurs festivals en France et à l’étranger avant de remporter le « Golden tree » du meilleur film documentaire au Festival international de Sarajevo en 2019.

La même année, Mathias Monet part au Tchad et collabore avec les réfugiés Peuls centrafricains installés dans le village de Niergui, dans la région du Guéra. Il réalise le projet documentaire « Réfugiés Photographes », exposé en décembre 2020 à l'Institut Français de N'Djamena en présence de l'ambassadeur de France au Tchad et d'un représentant du Ministre Tchadien de la Culture.

En 2019, il réalise, avec le soutien de l'Institut Français, France Volontaires et de l'ambassade de France au Tchad, un deuxième film documentaire intitulé « Au revoir Bangui », qui retrace le parcours et le quotidien des Peuls victimes de la troisième guerre civile en République Centrafricaine. Ce projet, conçu comme un travail au long cours, s'inscrit dans une démarche de documentation sur plusieurs décennies, visant à explorer l'évolution des réalités de ces communautés dans un contexte historique et social en constante mutation.

Depuis 2022, il a réalisé de nouveaux projets photographiques en Afrique du Sud, au Lesotho, au Togo ou encore au Bénin.

Parallèlement à ses projets photographiques, Mathias Monet travaille sur plusieurs films documentaires actuellement en cours d’écriture. Son engagement envers ceux qui sont souvent ignorés transparaît dans chacun de ses projets artistiques.

Aujourd’hui basé à Paris, Mathias Monet poursuit son travail en Afrique subsaharienne, utilisant sa voix artistique pour faire entendre les histoires des personnes et des communautés souvent marginalisées. À travers son art, il cherche à explorer les récits universels qui nous relient et à offrir une perspective humaine sur des réalités souvent invisibles.

French filmmaker and photographer Mathias Monet was born in 1992 in Cannes. He studied music at the conservatories of Cannes and Montreuil before training in cinema at the Fonderie de l'Image in 2014.

In 2017, he worked for a year as a photographer with the Talibés in the suburbs of Dakar, Senegal. He created a series of 150 portraits dedicated to these street children, which he exhibited in Dakar and later in Paris that same year.

In 2018, Mathias Monet directed his first documentary in partnership with the European Guild and the Vidome Association. Shot in Benin, "The Tales of Kokoro" was selected for several festivals in France and abroad and won the Golden Tree Award for Best Documentary at the Sarajevo International Festival in 2019.

That same year, Mathias Monet traveled to Chad to collaborate with Central African Peul refugees settled in the village of Niergui in the Guera region. He created the documentary project "Refugee Photographers", which was exhibited in December 2020 at the French Institute of N'Djamena in the presence of the French Ambassador to Chad and a representative from the Chadian Ministry of Culture.

In 2019, he directed a second documentary, "Goodbye Bangui", with the support of the French Institute, France Volontaires, and the French Embassy in Chad. The film retraces the lives and daily struggles of Peul victims of the third civil war in the Central African Republic. This project, envisioned as a long-term endeavor, aims to document the evolving realities of these communities over several decades, exploring their experiences within a shifting historical and social context.

Since 2022, he has carried out new photographic projects in South Africa, Lesotho, Togo, and Benin.

In addition to his photographic projects, Mathias Monet is working on several documentary films currently in development. His commitment to shedding light on often-overlooked communities resonates through all his artistic endeavors.

Now based in Paris, Mathias Monet continues his work in sub-Saharan Africa, using his artistic voice to amplify the stories of marginalized people and communities. Through his art, he seeks to explore universal narratives that connect us and provide a human perspective on often unseen realities.

— Téléchargements

— Compétences
— Bio
FR | EN

Cinéaste et photographe français né en 1992 à Cannes, Mathias Monet étudie la musique aux conservatoires de Cannes et de Montreuil avant d’être formé aux métiers du cinéma à la Fonderie de l'image en 2014.

En 2017, il part travailler un an comme photographe, avec les Talibés dans la banlieue de Dakar, au Sénégal. Il réalise une série de 150 portraits consacrée à ces enfants des rues, qu'il expose à Dakar puis à Paris la même année.

En 2018, Mathias Monet réalise un premier documentaire en partenariat avec la Guilde Européenne et l'association Vidome. Tourné au Bénin, « Les Contes de Kokoro » est sélectionné dans plusieurs festivals en France et à l’étranger avant de remporter le « Golden tree » du meilleur film documentaire au Festival international de Sarajevo en 2019.

La même année, Mathias Monet part au Tchad et collabore avec les réfugiés Peuls centrafricains installés dans le village de Niergui, dans la région du Guéra. Il réalise le projet documentaire « Réfugiés Photographes », exposé en décembre 2020 à l'Institut Français de N'Djamena en présence de l'ambassadeur de France au Tchad et d'un représentant du Ministre Tchadien de la Culture.

En 2019, il réalise, avec le soutien de l'Institut Français, France Volontaires et de l'ambassade de France au Tchad, un deuxième film documentaire intitulé « Au revoir Bangui », qui retrace le parcours et le quotidien des Peuls victimes de la troisième guerre civile en République Centrafricaine. Ce projet, conçu comme un travail au long cours, s'inscrit dans une démarche de documentation sur plusieurs décennies, visant à explorer l'évolution des réalités de ces communautés dans un contexte historique et social en constante mutation.

Depuis 2022, il a réalisé de nouveaux projets photographiques en Afrique du Sud, au Lesotho, au Togo ou encore au Bénin.

Parallèlement à ses projets photographiques, Mathias Monet travaille sur plusieurs films documentaires actuellement en cours d’écriture. Son engagement envers ceux qui sont souvent ignorés transparaît dans chacun de ses projets artistiques.

Aujourd’hui basé à Paris, Mathias Monet poursuit son travail en Afrique subsaharienne, utilisant sa voix artistique pour faire entendre les histoires des personnes et des communautés souvent marginalisées. À travers son art, il cherche à explorer les récits universels qui nous relient et à offrir une perspective humaine sur des réalités souvent invisibles.

French filmmaker and photographer Mathias Monet was born in 1992 in Cannes. He studied music at the conservatories of Cannes and Montreuil before training in cinema at the Fonderie de l'Image in 2014.

In 2017, he worked for a year as a photographer with the Talibés in the suburbs of Dakar, Senegal. He created a series of 150 portraits dedicated to these street children, which he exhibited in Dakar and later in Paris that same year.

In 2018, Mathias Monet directed his first documentary in partnership with the European Guild and the Vidome Association. Shot in Benin, "The Tales of Kokoro" was selected for several festivals in France and abroad and won the Golden Tree Award for Best Documentary at the Sarajevo International Festival in 2019.

That same year, Mathias Monet traveled to Chad to collaborate with Central African Peul refugees settled in the village of Niergui in the Guera region. He created the documentary project "Refugee Photographers", which was exhibited in December 2020 at the French Institute of N'Djamena in the presence of the French Ambassador to Chad and a representative from the Chadian Ministry of Culture.

In 2019, he directed a second documentary, "Goodbye Bangui", with the support of the French Institute, France Volontaires, and the French Embassy in Chad. The film retraces the lives and daily struggles of Peul victims of the third civil war in the Central African Republic. This project, envisioned as a long-term endeavor, aims to document the evolving realities of these communities over several decades, exploring their experiences within a shifting historical and social context.

Since 2022, he has carried out new photographic projects in South Africa, Lesotho, Togo, and Benin.

In addition to his photographic projects, Mathias Monet is working on several documentary films currently in development. His commitment to shedding light on often-overlooked communities resonates through all his artistic endeavors.

Now based in Paris, Mathias Monet continues his work in sub-Saharan Africa, using his artistic voice to amplify the stories of marginalized people and communities. Through his art, he seeks to explore universal narratives that connect us and provide a human perspective on often unseen realities.

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