Le grand confinement
Dès le début du confinement lié à l'épidémie de Covid-19, les patients en psychiatrie ont été confinés à l'hôpital ou dans leurs logements. Pas une grande révolution pour certains dont la pathologie aime justement le confinement. Un problème pour d'autres, peut-être plus à la marge et habitués à se promener dans les rues sans contraintes.
Je me suis rendu à plusieurs reprises à l'hôpital psychiatrique de Valenciennes ainsi qu'au centre médico-psychologique de Vieux-Condé jusqu'à la levée du confinement. Contrairement aux prévisions les plus pessimistes, la psychiatrie a tenu le coup. Même si les visites, les sorties, les activités et la réinsertion ont été suspendus, les patients ont été très respectueux des consignes et tout cela s'est enchaîné assez facilement. Si le coronavirus a bouleversé nos quotidiens, les mieux armés pour affronter ce nouveau monde ont peut-être été les "fous".
Le grand confinement
Dès le début du confinement lié à l'épidémie de Covid-19, les patients en psychiatrie ont été confinés à l'hôpital ou dans leurs logements. Pas une grande révolution pour certains dont la pathologie aime justement le confinement. Un problème pour d'autres, peut-être plus à la marge et habitués à se promener dans les rues sans contraintes.
Je me suis rendu à plusieurs reprises à l'hôpital psychiatrique de Valenciennes ainsi qu'au centre médico-psychologique de Vieux-Condé jusqu'à la levée du confinement. Contrairement aux prévisions les plus pessimistes, la psychiatrie a tenu le coup. Même si les visites, les sorties, les activités et la réinsertion ont été suspendus, les patients ont été très respectueux des consignes et tout cela s'est enchaîné assez facilement. Si le coronavirus a bouleversé nos quotidiens, les mieux armés pour affronter ce nouveau monde ont peut-être été les "fous".