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Arthur N. Orchard
— Compétences
— Bio
FR | EN
Arthur Nicholas ORCHARD
Né en 1983 à Paris, d'un père mécanicien-ajusteur de motocyclettes russes à Brooklyn, et d'une mère violoniste de country music à Durango, au beau milieu des rocheuses, dans le Colorado.
Sur un coup du sort et un gros malentendu, ses parents se rencontrent à Biarritz lors d'un rassemblement de bikers tatoués, organisé par un brasseur belge. Le sort s'acharne, ils s'embrassent, dansent toute la nuit au bal des Son of Anarchy, et décident de laisser tomber leurs vies de coyotes pour tenter leur chance au pays de Marcel Cerdan, Victor Hugo, Michel Platini et Serge Gainsbourg. Ils posent leurs baluchons à Paris, Porte des Lilas.
Son père décroche un emploi à la chaine, à l'usine Peugeot de Aulnay-sous-Bois, le soir, il prend des cours de français à l'usine en lisant Boris Vian et les discours de Jean Jaures. Il rejoindra le syndicat CGT assez vite, et sera, depuis ce jour, toujours en colère et jamais content.
Sa mère trouvera une place de sixieme violon, dans un cabaret parisien, elle jouera peu, sera souvent remplacante mais toujours présente pour son fils et pour le bien-être de la petite famille.
Apres un parcours chaotique dans un lycée parisien, le jeune Arthur finira quand même diplomé par un bac et aussi plus tard, de beaucoup de choses universitaires qui ne servent pas à grand chose dans la vie courante.
Pour le grand désarroi de ses parents, ils préfère le rock anglais des années 70, il grandira entre rock 'n roll, huile de vidange, le PCF, la bière, la fête de l'huma et des vieux appareils photo.
La photographie, sa grande passion. Il a peu de traces et de photos de famille, alors il construit son album.
Le photojournalisme devient vite le fil conducteur de sa vie, son métier et sa foi.
Pendant longtemps, Raymond Depardon sera son exemple dans la brume de requins qu'est le photojournalisme.
Il défend le photojournalisme, se bat contre le vent souvent, mais il n'arrive à rien, et défend le peu qu'il reste de ce métier de liberté. Car sans le journalisme, il ne restera que de la communication et des artistes. Autrement dit, que des belles poésies mais plus rien de crédible.
Il n'a jamais compris ces gens qui disent faire du photojournalisme, mais qui se comportent comme dans une fête foraine. Lui ne se déguise pas en ninja avec des protections de rollers pour aller photographier une manifestante bourrée qui fait des doigts d'honneur à une colonne de Gendarmes Mobiles au fisheye à 20 cm de son visage.
Son credo, c'est d'etre invisible,,ne jamais être vu, ne gener personne, même pas un manifestant, pas un passant, pas même un drapeau, pas même le vent.
Il veut etre comme le vent.
Il intègre la structure Hans Lucas, en l'an covidien 2020, l'année où le monde s'écroula.
La route est longue. C'est la vie qui est courte. On a pas le choix, faut tout faire à fond !

Arthur Nicholas ORCHARD
Né en 1983 à Paris, d'un père mécanicien-ajusteur de motocyclettes russes à Brooklyn, et d'une mère violoniste de country music à Durango, au beau milieu des rocheuses, dans le Colorado.
Sur un coup du sort et un gros malentendu, ses parents se rencontrent à Biarritz lors d'un rassemblement de bikers tatoués, organisé par un brasseur belge. Le sort s'acharne, ils s'embrassent, dansent toute la nuit au bal des Son of Anarchy, et décident de laisser tomber leurs vies de coyotes pour tenter leur chance au pays de Marcel Cerdan, Victor Hugo, Michel Platini et Serge Gainsbourg. Ils posent leurs baluchons à Paris, Porte des Lilas.
Son père décroche un emploi à la chaine, à l'usine Peugeot de Aulnay-sous-Bois, le soir, il prend des cours de français à l'usine en lisant Boris Vian et les discours de Jean Jaures. Il rejoindra le syndicat CGT assez vite, et sera, depuis ce jour, toujours en colère et jamais content.
Sa mère trouvera une place de sixieme violon, dans un cabaret parisien, elle jouera peu, sera souvent remplacante mais toujours présente pour son fils et pour le bien-être de la petite famille.
Apres un parcours chaotique dans un lycée parisien, le jeune Arthur finira quand même diplomé par un bac et aussi plus tard, de beaucoup de choses universitaires qui ne servent pas à grand chose dans la vie courante.
Pour le grand désarroi de ses parents, ils préfère le rock anglais des années 70, il grandira entre rock 'n roll, huile de vidange, le PCF, la bière, la fête de l'huma et des vieux appareils photo.
La photographie, sa grande passion. Il a peu de traces et de photos de famille, alors il construit son album.
Le photojournalisme devient vite le fil conducteur de sa vie, son métier et sa foi.
Pendant longtemps, Raymond Depardon sera son exemple dans la brume de requins qu'est le photojournalisme.
Il défend le photojournalisme, se bat contre le vent souvent, mais il n'arrive à rien, et défend le peu qu'il reste de ce métier de liberté. Car sans le journalisme, il ne restera que de la communication et des artistes. Autrement dit, que des belles poésies mais plus rien de crédible.
Il n'a jamais compris ces gens qui disent faire du photojournalisme, mais qui se comportent comme dans une fête foraine. Lui ne se déguise pas en ninja avec des protections de rollers pour aller photographier une manifestante bourrée qui fait des doigts d'honneur à une colonne de Gendarmes Mobiles au fisheye à 20 cm de son visage.
Son credo, c'est d'etre invisible,,ne jamais être vu, ne gener personne, même pas un manifestant, pas un passant, pas même un drapeau, pas même le vent.
Il veut etre comme le vent.
Il intègre la structure Hans Lucas, en l'an covidien 2020, l'année où le monde s'écroula.
La route est longue. C'est la vie qui est courte. On a pas le choix, faut tout faire à fond !

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Arthur Nicholas ORCHARD
Né en 1983 à Paris, d'un père mécanicien-ajusteur de motocyclettes russes à Brooklyn, et d'une mère violoniste de country music à Durango, au beau milieu des rocheuses, dans le Colorado.
Sur un coup du sort et un gros malentendu, ses parents se rencontrent à Biarritz lors d'un rassemblement de bikers tatoués, organisé par un brasseur belge. Le sort s'acharne, ils s'embrassent, dansent toute la nuit au bal des Son of Anarchy, et décident de laisser tomber leurs vies de coyotes pour tenter leur chance au pays de Marcel Cerdan, Victor Hugo, Michel Platini et Serge Gainsbourg. Ils posent leurs baluchons à Paris, Porte des Lilas.
Son père décroche un emploi à la chaine, à l'usine Peugeot de Aulnay-sous-Bois, le soir, il prend des cours de français à l'usine en lisant Boris Vian et les discours de Jean Jaures. Il rejoindra le syndicat CGT assez vite, et sera, depuis ce jour, toujours en colère et jamais content.
Sa mère trouvera une place de sixieme violon, dans un cabaret parisien, elle jouera peu, sera souvent remplacante mais toujours présente pour son fils et pour le bien-être de la petite famille.
Apres un parcours chaotique dans un lycée parisien, le jeune Arthur finira quand même diplomé par un bac et aussi plus tard, de beaucoup de choses universitaires qui ne servent pas à grand chose dans la vie courante.
Pour le grand désarroi de ses parents, ils préfère le rock anglais des années 70, il grandira entre rock 'n roll, huile de vidange, le PCF, la bière, la fête de l'huma et des vieux appareils photo.
La photographie, sa grande passion. Il a peu de traces et de photos de famille, alors il construit son album.
Le photojournalisme devient vite le fil conducteur de sa vie, son métier et sa foi.
Pendant longtemps, Raymond Depardon sera son exemple dans la brume de requins qu'est le photojournalisme.
Il défend le photojournalisme, se bat contre le vent souvent, mais il n'arrive à rien, et défend le peu qu'il reste de ce métier de liberté. Car sans le journalisme, il ne restera que de la communication et des artistes. Autrement dit, que des belles poésies mais plus rien de crédible.
Il n'a jamais compris ces gens qui disent faire du photojournalisme, mais qui se comportent comme dans une fête foraine. Lui ne se déguise pas en ninja avec des protections de rollers pour aller photographier une manifestante bourrée qui fait des doigts d'honneur à une colonne de Gendarmes Mobiles au fisheye à 20 cm de son visage.
Son credo, c'est d'etre invisible,,ne jamais être vu, ne gener personne, même pas un manifestant, pas un passant, pas même un drapeau, pas même le vent.
Il veut etre comme le vent.
Il intègre la structure Hans Lucas, en l'an covidien 2020, l'année où le monde s'écroula.
La route est longue. C'est la vie qui est courte. On a pas le choix, faut tout faire à fond !

Arthur Nicholas ORCHARD
Né en 1983 à Paris, d'un père mécanicien-ajusteur de motocyclettes russes à Brooklyn, et d'une mère violoniste de country music à Durango, au beau milieu des rocheuses, dans le Colorado.
Sur un coup du sort et un gros malentendu, ses parents se rencontrent à Biarritz lors d'un rassemblement de bikers tatoués, organisé par un brasseur belge. Le sort s'acharne, ils s'embrassent, dansent toute la nuit au bal des Son of Anarchy, et décident de laisser tomber leurs vies de coyotes pour tenter leur chance au pays de Marcel Cerdan, Victor Hugo, Michel Platini et Serge Gainsbourg. Ils posent leurs baluchons à Paris, Porte des Lilas.
Son père décroche un emploi à la chaine, à l'usine Peugeot de Aulnay-sous-Bois, le soir, il prend des cours de français à l'usine en lisant Boris Vian et les discours de Jean Jaures. Il rejoindra le syndicat CGT assez vite, et sera, depuis ce jour, toujours en colère et jamais content.
Sa mère trouvera une place de sixieme violon, dans un cabaret parisien, elle jouera peu, sera souvent remplacante mais toujours présente pour son fils et pour le bien-être de la petite famille.
Apres un parcours chaotique dans un lycée parisien, le jeune Arthur finira quand même diplomé par un bac et aussi plus tard, de beaucoup de choses universitaires qui ne servent pas à grand chose dans la vie courante.
Pour le grand désarroi de ses parents, ils préfère le rock anglais des années 70, il grandira entre rock 'n roll, huile de vidange, le PCF, la bière, la fête de l'huma et des vieux appareils photo.
La photographie, sa grande passion. Il a peu de traces et de photos de famille, alors il construit son album.
Le photojournalisme devient vite le fil conducteur de sa vie, son métier et sa foi.
Pendant longtemps, Raymond Depardon sera son exemple dans la brume de requins qu'est le photojournalisme.
Il défend le photojournalisme, se bat contre le vent souvent, mais il n'arrive à rien, et défend le peu qu'il reste de ce métier de liberté. Car sans le journalisme, il ne restera que de la communication et des artistes. Autrement dit, que des belles poésies mais plus rien de crédible.
Il n'a jamais compris ces gens qui disent faire du photojournalisme, mais qui se comportent comme dans une fête foraine. Lui ne se déguise pas en ninja avec des protections de rollers pour aller photographier une manifestante bourrée qui fait des doigts d'honneur à une colonne de Gendarmes Mobiles au fisheye à 20 cm de son visage.
Son credo, c'est d'etre invisible,,ne jamais être vu, ne gener personne, même pas un manifestant, pas un passant, pas même un drapeau, pas même le vent.
Il veut etre comme le vent.
Il intègre la structure Hans Lucas, en l'an covidien 2020, l'année où le monde s'écroula.
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