Guerre en Syrie
Descendu dans le chaos, la Syrie a marqué la bataille de signature de notre temps. En juillet 2012, forces armées de l'opposition au président syrien Bashar Al-Assad, a commencé à mobiliser vers le nord de la ville d'Alep, le centre commercial du pays, affirmant qu'on se souviendrait de la bataille pour Alep comme «la mère de toutes les batailles».
Des centaines de milliers de personnes ont fui sous de violents bombardements, tandis que d'autres se sont retrouvées piégées dans un rage des combats de rue. Des immeubles d'appartements entièrement ravagés se sont transformés en nid de tireurs d'élite, des quartiers entiers sont devenus un champ de bataille dans toute la ville. Le nombre de morts a augmenté de façon exponentielle jusqu'à 75 000 victimes, tandis que les accusations des deux côtés autre, décrivant d'horribles scènes de torture et d'exécutions sommaires de civils.
Des corps brisés ont été emportés dans les décombres de maisons touchées par une bombe. Alep était une ville condamnée. De la ligne de front de la bataille dans la vieille ville aux ouvriers quartier de la classe à Sakhour, le désespoir laissé derrière les plus vulnérables, les plus pauvres et tous ceux piégés par la géographie ou par les circonstances dans les zones contrôlées par des groupes armés de l'opposition, sévèrement ciblés par l'armée d'Al-Assad.
Dans les provinces septentrionales d'Alep et d'Idlib, où l'opposition au gouvernement a été des batailles parmi les plus sanglantes ont eu lieu, provoquant la diaspora syrienne réfugiés dans la Turquie voisine. Des centaines de milliers de personnes ont fui, laissant des villes entières
vide et provoquant l'une des plus graves crises de réfugiés de l'histoire récente.
La "mère de toutes les batailles" était un témoignage signalant un carnage, alors que les troupes de chaque côté se sont battus pour le contrôle du nord stratégique. Pour beaucoup, c'était le début d'une longue guerre annonçant un coût humain imprévisible à payer.
War in Syria
Descended into chaos, Syria marked the signature battle of our time. In July 2012,
opposition armed forces to Syria?s president Bashar Al-Assad, started mobilizing
towards the northern city of Aleppo, the commercial hub of the country, claiming that
the battle for Aleppo would be remembered as ?the mother of all battles?.
Hundreds of thousands fled under fierce bombardments while others were trapped in a
raged street fighting. Entire ravaged apartment buildings turned into a sniper?s nest, as
whole neighbourhoods turned into a battlefield throughout the city. The death toll rose
exponentially up to 75,000 casualties, while allegations from both sides accused each
other, describing horrendous scenes of torture and summary executions of civilians.
Shattered bodies were carried out of the rubble of houses hit by a bomb as rounds of
artillery were fired, hidden in density populated areas.
Aleppo was a doomed city. From the frontline of the battle in the Old City to the working
class neighbourhood in Sakhour, the despair left behind the most vulnerable, the
poorest and all those trapped by geography or by circumstances in the areas controlled
by opposition armed groups, fiercely targeted by Al-Assad?s military.
In the northern provinces of Aleppo and Idlib, where opposition to the government was
strong some of the bloodiest battles took place, causing the diaspora of the Syrian
refugees into neighbouring Turkey. Hundreds of thousands fled leaving entire towns
empty and causing one of the major refugee crisis in recent history.
The ?the mother of all battles? was a signal testimony announcing a carnage, as troops
from each side battled over control of the strategic north. As for many, it was the
beginning of a long lasting war announcing an unpredictable human cost to pay for.