Photographes de guerre : Para Bellum
Fin octobre 2015, je rejoins à Carcassonne un groupe d'étudiants en DU de photographie documentaire de l'université de Perpignan, pour les suivre lors d'un stage de sensibilisation aux risques en zone de conflit organisé par le 3e Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine. Durant trois jours, ils apprendront des gestes qui les sauveront peut-être un jour, tels que stopper une hémorragie et de stabiliser un blessé en zone de combat, suivre un groupe de soldats pris en embuscade, ou encore l'attitude à adopter lors d'une prise d'otages.
Ceci afin de sensibiliser les futurs reporters de guerre aux risques qu'ils encourent lorsqu'ils accompagneront des groupes de combattants, et leur donner les rudiments nécessaires pour réagir correctement à des situations difficiles qu'ils pourront rencontrer en zone de tension. Une préparation en phase avec les risques du métier de reporter de guerre, alors que ceux-ci n'ont jamais été aussi élevés.
Photographes de guerre : Para Bellum
Fin octobre 2015, je rejoins à Carcassonne un groupe d'étudiants en DU de photographie documentaire de l'université de Perpignan, pour les suivre lors d'un stage de sensibilisation aux risques en zone de conflit organisé par le 3e Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine. Durant trois jours, ils apprendront des gestes qui les sauveront peut-être un jour, tels que stopper une hémorragie et de stabiliser un blessé en zone de combat, suivre un groupe de soldats pris en embuscade, ou encore l'attitude à adopter lors d'une prise d'otages.
Ceci afin de sensibiliser les futurs reporters de guerre aux risques qu'ils encourent lorsqu'ils accompagneront des groupes de combattants, et leur donner les rudiments nécessaires pour réagir correctement à des situations difficiles qu'ils pourront rencontrer en zone de tension. Une préparation en phase avec les risques du métier de reporter de guerre, alors que ceux-ci n'ont jamais été aussi élevés.