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Référendum : Une journée à travers la campagne calédonienne
Les formations politiques de Nouvelle-Calédonie ont intensifié leur présence sur le terrain à l'approche du référendum du 4 novembre 2018 sur l'indépendance.
J'ai suivi toute une journée les partisans du « non » et du « oui » qui faisaient campagne aux quatre coins de la Grande Terre.
Dans la dernière ligne droite : l'enjeu est de retourner les indécis et de convaincre les potentiels abstentionnistes.
A Nouméa : des employés du parti loyaliste Les Républicains Calédoniens partent à la rencontre des habitants du quartier populaire de Rivière-Salée.
Sur la côte Ouest : le député Philippe Gomes (Calédonie ensemble) milite pour le « non » à l'indépendance dans la commune Kanak de Sarraméa.
Sur la côte Est : Louis Mapou, cadre du FLNKS (front de libération nationale kanak socialiste), appelle ses sympathisants de Canala à se rendre aux urnes.
New Caledonia : one day through the referendum campaign
Political parties in New Caledonia have intensified their presence in the field in the run-up to the November 4, 2018 referendum on independence.
I followed a whole day the supporters of the "no" and the "yes" who campaigned through the Grande Terre. In the last straight line: the challenge is to return the undecided and to convince the potential abstainers.
In Nouméa: employees of the loyalist party Les Républicains Calédoniens go to meet the inhabitants of the popular district of Rivière-Salée.
On the West Coast: the deputy Philippe Gomes (Caledonia Ensemble) militates for the "no" to independence in the Kanak area of Sarraméa.
On the East Coast: Louis Mapou, a member of FLNKS (Kanak National Socialist Liberation Front), calls on his supporters to go to the polls in the separatist stronghold of Canala.