La nouvelle jungle de Calais
Photographies de Lucie Pastureau/Hanslucas pour le journal « Le Monde », textes de Maryline Baumard
Près de 2 000 migrants vivent aujourd'hui à Calais. Ils stationnent dans la ville en attente d'un passage en Grande-Bretagne, un pays situé hors de l'espace Schengen dont ils rêvent de forcer les frontières, cachés dans un ferry ou un camion.
Alors que la survie de ces migrants repose sur le travail associatif mené à Calais depuis 1999, le gouvernement français a décidé à l'automne dernier d'offrir quelques services dans un centre en périphérie de la ville. Le centre Jules-Ferry ouvre progressivement ses portes, le jour seulement. Pour la nuit, les migrants sont désormais priés de s'installer sur la lande voisine. Dix-huit hectares sans eau, sans sanitaires, dans des abris de fortune. Ainsi va la vie calaisienne des Afghans, Soudanais ou Erythréens.
Voir le portfolio en ligne sur Le Monde.
Voir l'article de Maryline Baumard.
La nouvelle jungle de Calais
Photographies de Lucie Pastureau/Hanslucas pour le journal « Le Monde », textes de Maryline Baumard
Près de 2 000 migrants vivent aujourd'hui à Calais. Ils stationnent dans la ville en attente d'un passage en Grande-Bretagne, un pays situé hors de l'espace Schengen dont ils rêvent de forcer les frontières, cachés dans un ferry ou un camion.
Alors que la survie de ces migrants repose sur le travail associatif mené à Calais depuis 1999, le gouvernement français a décidé à l'automne dernier d'offrir quelques services dans un centre en périphérie de la ville. Le centre Jules-Ferry ouvre progressivement ses portes, le jour seulement. Pour la nuit, les migrants sont désormais priés de s'installer sur la lande voisine. Dix-huit hectares sans eau, sans sanitaires, dans des abris de fortune. Ainsi va la vie calaisienne des Afghans, Soudanais ou Erythréens.
Voir le portfolio en ligne sur Le Monde.
Voir l'article de Maryline Baumard.