À contre ciel
Pas trop de bruit, ce n’est pas la peine, presque pas la peine de s’y arrêter, c’est si peu, des visages qui nous échappent, des bougies d’anniversaire oubliées. Le jour qui vient, comme un halo, nous grignoter un peu. On s’y berce, on se sent bien, même si parfois, derrière nos visages, comme des masques, on est seul. Un léger souffle derrière la nuque ; on se retourne, et déjà, il n’y a plus personne.
À contre ciel
Pas trop de bruit, ce n’est pas la peine, presque pas la peine de s’y arrêter, c’est si peu, des visages qui nous échappent, des bougies d’anniversaire oubliées. Le jour qui vient, comme un halo, nous grignoter un peu. On s’y berce, on se sent bien, même si parfois, derrière nos visages, comme des masques, on est seul. Un léger souffle derrière la nuque ; on se retourne, et déjà, il n’y a plus personne.