Proches
Une série de Lucie Pastureau et Lionel Pralus. Des images prises d'un lieu à l'autre, du sommeil à l'éveil, par l'un ou par l'autre indistinctement. Une sorte de carnet de route, une typographie de l'intime. La surface de l'image devient surface du rêve, drap que l'on froisse, une main qui se protège. La lumière baisse, l'image se plisse. Les repères se confondent, en passant d'un lieu à l'autre, presque dans une équivalence, mais rien n'est jamais pareil. Ce n'est plus la même chambre, ni le même visage. La nuit et le jour, l'intérieur et l'extérieur, soi et l'autre soi, on se dénude comme on se cache. On aime à vouloir être l'ombre de l'autre, parfois jusqu'à se fuir, parfois jusqu'à le fuir.
Proches
Une série de Lucie Pastureau et Lionel Pralus. Des images prises d'un lieu à l'autre, du sommeil à l'éveil, par l'un ou par l'autre indistinctement. Une sorte de carnet de route, une typographie de l'intime. La surface de l'image devient surface du rêve, drap que l'on froisse, une main qui se protège. La lumière baisse, l'image se plisse. Les repères se confondent, en passant d'un lieu à l'autre, presque dans une équivalence, mais rien n'est jamais pareil. Ce n'est plus la même chambre, ni le même visage. La nuit et le jour, l'intérieur et l'extérieur, soi et l'autre soi, on se dénude comme on se cache. On aime à vouloir être l'ombre de l'autre, parfois jusqu'à se fuir, parfois jusqu'à le fuir.