NUITS RWANDAISES
J'ai erré dans Kigali la nuit. J'ai frôlé ceux qui vivent dans les quartiers populaires de Nyamirambo et Nyabugogo. J'ai observé les lumières qui éclairent l'obscurité, métaphores d'un pays qui sort des ténèbres. Les lueurs dans la pénombre annoncent le jour. J'ai épié les paysages urbains illuminés à l'ampoule qui constituent des narrations quasi-cinématographique. Les histoires sont dans les creux. On ne les voit pas mais elles tapissent les murs des bâtisses. Les morts. L'obscure clarté contient toute l'humanité. La nuit est à la fois l'évocation des rêves et des peurs. Elle renferme toutes les promesses. Enfin, sur le Rwanda le jour se lève.
NUITS RWANDAISES
J'ai erré dans Kigali la nuit. J'ai frôlé ceux qui vivent dans les quartiers populaires de Nyamirambo et Nyabugogo. J'ai observé les lumières qui éclairent l'obscurité, métaphores d'un pays qui sort des ténèbres. Les lueurs dans la pénombre annoncent le jour. J'ai épié les paysages urbains illuminés à l'ampoule qui constituent des narrations quasi-cinématographique. Les histoires sont dans les creux. On ne les voit pas mais elles tapissent les murs des bâtisses. Les morts. L'obscure clarté contient toute l'humanité. La nuit est à la fois l'évocation des rêves et des peurs. Elle renferme toutes les promesses. Enfin, sur le Rwanda le jour se lève.