Hommage Jeanne d'Arc : Ultra-Droite française et européenne
?« Dimanche 10 mai 2015 avait lieu à Paris le traditionnel défilé de l'extrême droite radicale en l'honneur de Jeanne d'Arc. C'est le défilé traditionnel de l'extrême droite française.
Chaque deuxième dimanche de mai, les nationalistes radicaux rendent hommage à Jeanne d'Arc à Paris. Le Front national a lui-même participé à cette manifestation, de sa création dans les années 1970 jusqu'en 1988, date à laquelle il a avancé son rendez-vous annuel au 1er mai.
Le rassemblement de cette année avait un accent particulier, après la suspension de Jean-Marie Le Pen du FN.
«Aujourd'hui l'anarchie, demain l'ordre nouveau», «francs-maçons en prison» ou «ni droite, ni gauche, nationaliste» étaient les slogans scandés par les manifestants au milieu des pétards et des fumigènes. La manifestation revêtait cette année un accent européen puisque étaient invités des nationalistes espagnols, danois ou belges. Mais aussi de l'Aube dorée grecque.
En marge de cette manifestation, Alexandre Gabriac, ancien leader des Jeunesses nationalistes, mouvement également dissous, confiait soutenir «Jean-Marie Le Pen comme il m'a toujours soutenu».
L'ancien chef du FN était en effet intervenu en sa faveur après la décision d'exclusion prise par Marine Le Pen en 2011, après qu'une photo du jeune homme en train de faire le salut nazi avait été publiée dans la presse.
Dimanche à la tribune, il n'a cependant pas cité «le Menhir» parmi les «héros et martyrs» qu'il souhaitait distinguer, parmi lesquels Clovis, Charles Martel, Saint-Louis, Maurras, le maréchal Pétain, Léon Degrelle ou Bastien-Thiry. »
Hommage Jeanne d'Arc : Ultra-Droite française et européenne
?« Dimanche 10 mai 2015 avait lieu à Paris le traditionnel défilé de l'extrême droite radicale en l'honneur de Jeanne d'Arc. C'est le défilé traditionnel de l'extrême droite française.
Chaque deuxième dimanche de mai, les nationalistes radicaux rendent hommage à Jeanne d'Arc à Paris. Le Front national a lui-même participé à cette manifestation, de sa création dans les années 1970 jusqu'en 1988, date à laquelle il a avancé son rendez-vous annuel au 1er mai.
Le rassemblement de cette année avait un accent particulier, après la suspension de Jean-Marie Le Pen du FN.
«Aujourd'hui l'anarchie, demain l'ordre nouveau», «francs-maçons en prison» ou «ni droite, ni gauche, nationaliste» étaient les slogans scandés par les manifestants au milieu des pétards et des fumigènes. La manifestation revêtait cette année un accent européen puisque étaient invités des nationalistes espagnols, danois ou belges. Mais aussi de l'Aube dorée grecque.
En marge de cette manifestation, Alexandre Gabriac, ancien leader des Jeunesses nationalistes, mouvement également dissous, confiait soutenir «Jean-Marie Le Pen comme il m'a toujours soutenu».
L'ancien chef du FN était en effet intervenu en sa faveur après la décision d'exclusion prise par Marine Le Pen en 2011, après qu'une photo du jeune homme en train de faire le salut nazi avait été publiée dans la presse.
Dimanche à la tribune, il n'a cependant pas cité «le Menhir» parmi les «héros et martyrs» qu'il souhaitait distinguer, parmi lesquels Clovis, Charles Martel, Saint-Louis, Maurras, le maréchal Pétain, Léon Degrelle ou Bastien-Thiry. »