Astrid et Ophélia
Ophélia rêve de devenir soigneur d'équidés depuis l'âge de 9 ans. Banal ? Non, hors-norme ! A 17 ans, handicapée à 80%, elle souffre de graves troubles de l'équilibre, a priori incompatibles avec le métier de palefrenier.
Pourtant cela fait deux ans qu'elle suit une formation de soigneur d'équidés au lycée agricole Saint-Cyran-du-Jambost situé près de Tours, à plus de 600 km de chez elle.
Début juillet, Ophélia décrochait son CAP. Un sésame obtenu de haute lutte, grâce à Astrid, son auxiliaire d'intégration scolaire et sociale, qui l'a accompagnée jour et nuit au lycée, pour lui permettre de réaliser son rêve de vie ordinaire.
De la part d'Astrid, il s'agit de deux ans de sacerdoce, 24 heures sur 24, au service de la jeune fille. A l'internat, dans les écuries, en classe, à la cantine... Car Ophélia ne marche pas seule, ne lit pas seule, et peut difficilement communiquer avec autrui sans son intermédiaire.
Astrid et Ophélia
Ophélia rêve de devenir soigneur d'équidés depuis l'âge de 9 ans. Banal ? Non, hors-norme ! A 17 ans, handicapée à 80%, elle souffre de graves troubles de l'équilibre, a priori incompatibles avec le métier de palefrenier.
Pourtant cela fait deux ans qu'elle suit une formation de soigneur d'équidés au lycée agricole Saint-Cyran-du-Jambost situé près de Tours, à plus de 600 km de chez elle.
Début juillet, Ophélia décrochait son CAP. Un sésame obtenu de haute lutte, grâce à Astrid, son auxiliaire d'intégration scolaire et sociale, qui l'a accompagnée jour et nuit au lycée, pour lui permettre de réaliser son rêve de vie ordinaire.
De la part d'Astrid, il s'agit de deux ans de sacerdoce, 24 heures sur 24, au service de la jeune fille. A l'internat, dans les écuries, en classe, à la cantine... Car Ophélia ne marche pas seule, ne lit pas seule, et peut difficilement communiquer avec autrui sans son intermédiaire.