Roybon, la CenterZAD
Décembre 2014. Une nouvelle ZAD (zone à défendre) s'installe dans la forêt des Chambaran, à Roybon en Isère, pour s'opposer au projet de Pierre et Vacances de construire un CenterParcs, gigantesque parc de loisirs de 220 hectares organisé autour d'une énorme bulle piscine au climat tropical.
L'exploitation de plus de 900 cottages entrainerait une consommation d'eau (et d'énergie pour maintenir la bulle à 29° toute l'année) équivalente à celle d'une ville de 5000 habitants.
Plusieurs associations essaient depuis de nombreuses années d'alerter sur le péril écologique que serait la destruction de ces espaces protégés, ainsi que sur l'importance de cette forêt pour l'approvisionnement en eau potable de la Drôme et de l'Isère. D'autres collectifs de défense du site s'élèvent contre une marchandisation forcenée de tout espace naturel qui doit s'incliner devant la logique de rentabilité du capitalisme.
Depuis juillet 2015 le tribunal administratif de Grenoble a mis un coup d'arrêt au projet en annulant un arrêté préfectoral indispensable portant sur le volet « loi sur l'eau ».
Roybon, la CenterZAD
Décembre 2014. Une nouvelle ZAD (zone à défendre) s'installe dans la forêt des Chambaran, à Roybon en Isère, pour s'opposer au projet de Pierre et Vacances de construire un CenterParcs, gigantesque parc de loisirs de 220 hectares organisé autour d'une énorme bulle piscine au climat tropical.
L'exploitation de plus de 900 cottages entrainerait une consommation d'eau (et d'énergie pour maintenir la bulle à 29° toute l'année) équivalente à celle d'une ville de 5000 habitants.
Plusieurs associations essaient depuis de nombreuses années d'alerter sur le péril écologique que serait la destruction de ces espaces protégés, ainsi que sur l'importance de cette forêt pour l'approvisionnement en eau potable de la Drôme et de l'Isère. D'autres collectifs de défense du site s'élèvent contre une marchandisation forcenée de tout espace naturel qui doit s'incliner devant la logique de rentabilité du capitalisme.
Depuis juillet 2015 le tribunal administratif de Grenoble a mis un coup d'arrêt au projet en annulant un arrêté préfectoral indispensable portant sur le volet « loi sur l'eau ».