Vivre ici, parcours de femmes immigrées
Alors que l’air du temps est parfois violent, l’itinéraire discret et tenace de ces femmes force l’estime et le respect. Il témoigne aussi que la solidarité est le recours et la réponse à beaucoup de maux. Leurs racines étaient en Roumanie, en Inde, au Kosovo, en Chine, en Iran, en Turquie, au Mali, en Egypte, au Kosovo... La France est devenue leur pays. En fallait-il de la détermination pour, simultanément, apprendre le français, trouver un logement, un travail et veiller sur les siens... De la générosité pour que celle-ci crée une association d’entraide, celle-là un relais intergénérationnel, qu’une troisième donne des cours de danse... Aïssa, Marielena, Zin Minn, Ayako ou Howida, chacune a milité à sa manière, convaincue d’avoir un rôle à jouer dans la société. Colombienne, Ukrainienne, Arménienne, Birmane, elles sont venues d’Europe et d’ailleurs. Elles ont eu pour la plupart des parcours cabossés, certaines ont divorcé et supporté seules la charge et l’éducation de leurs enfants, ont perdu leur statut social. Elles ont dû vaincre des obstacles pour s’imposer.
Vivre ici, parcours de femmes immigrées
Alors que l’air du temps est parfois violent, l’itinéraire discret et tenace de ces femmes force l’estime et le respect. Il témoigne aussi que la solidarité est le recours et la réponse à beaucoup de maux. Leurs racines étaient en Roumanie, en Inde, au Kosovo, en Chine, en Iran, en Turquie, au Mali, en Egypte, au Kosovo... La France est devenue leur pays. En fallait-il de la détermination pour, simultanément, apprendre le français, trouver un logement, un travail et veiller sur les siens... De la générosité pour que celle-ci crée une association d’entraide, celle-là un relais intergénérationnel, qu’une troisième donne des cours de danse... Aïssa, Marielena, Zin Minn, Ayako ou Howida, chacune a milité à sa manière, convaincue d’avoir un rôle à jouer dans la société. Colombienne, Ukrainienne, Arménienne, Birmane, elles sont venues d’Europe et d’ailleurs. Elles ont eu pour la plupart des parcours cabossés, certaines ont divorcé et supporté seules la charge et l’éducation de leurs enfants, ont perdu leur statut social. Elles ont dû vaincre des obstacles pour s’imposer.