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Jérusalem dans tous ses états.
Déambuler dans les rues de la vieille ville de Jérusalem, c'est entreprendre un voyage dans le temps. Des pérégrinations et des rêveries qui mènent droit dans l'actualité d'un conflit qui, en plus de modifier considérablement le paysage de la ville, semble insoluble. La récente reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l'État d'Israël par l'administration américaine s'est directement inscrite dans un long processus de déchirement.
Pourtant, la magie opère toujours, particulièrement dans la partie orientale de la ville qui abrite des sites sacrés pour des milliards de croyants des trois religions.
De l'Église du Saint-Sépulcre, plus important sanctuaire de la chrétienté, à l'esplanade des Mosquées, troisième lieu sain de l'Islam, en passant par le mur des Lamentations, dernier vestige du Second temple juif détruit en 70 après JC, il n'y a qu'un pas. Les milliers de fidèles qui s'entrecroisent dans ce dédalle de ruelles offrent à Jérusalem ce visage mystique. Mais un visage également empreint de gravité, puisque des centaines de milliers de Palestiniens, dont les familles ont été expulsées à la création de l'Etat d'Israël, rêvent toujours de fouler un jour les artères d'"Al Quds".
Plongée dans ce labyrinthe, en quête des 1000 visages de Jérusalem.
Jérusalem dans tous ses états.
Déambuler dans les rues de la vieille ville de Jérusalem, c'est entreprendre un voyage dans le temps. Des pérégrinations et des rêveries qui mènent droit dans l'actualité d'un conflit qui, en plus de modifier considérablement le paysage de la ville, semble insoluble. La récente reconnaissance de Jérusalem comme capitale de l'État d'Israël par l'administration américaine s'est directement inscrite dans un long processus de déchirement.
Pourtant, la magie opère toujours, particulièrement dans la partie orientale de la ville qui abrite des sites sacrés pour des milliards de croyants des trois religions.
De l'Église du Saint-Sépulcre, plus important sanctuaire de la chrétienté, à l'esplanade des Mosquées, troisième lieu sain de l'Islam, en passant par le mur des Lamentations, dernier vestige du Second temple juif détruit en 70 après JC, il n'y a qu'un pas. Les milliers de fidèles qui s'entrecroisent dans ce dédalle de ruelles offrent à Jérusalem ce visage mystique. Mais un visage également empreint de gravité, puisque des centaines de milliers de Palestiniens, dont les familles ont été expulsées à la création de l'Etat d'Israël, rêvent toujours de fouler un jour les artères d'"Al Quds".
Plongée dans ce labyrinthe, en quête des 1000 visages de Jérusalem.
