IL ÉTAIT UNE FOI MARSEILLE
Travail commencé à l'hiver 2018 toujours en cours (wip).
Traîner dans les églises m'a donné une autre approche de la lumière. À chaque heure, son atmosphère. J'ai commencé à documenter ces endroits sans but précis. Partant du simple postulat que ma passion, la street photographie, documentation de la rue à son paroxysme avait pour point de départ les rues, méandres de la ville. Véritable système sanguin urbain irrigant chaque artère de vie et de cris, je me suis rendu compte que ces rues avaient, elles, pour point de départ une église. Ces bâtiments sont souvent les plus anciens d'un quartier, on a construit l'église puis les rues autour. Tout le monde les connaît, sans y faire attention. Pour les plus majestueuses, les plus connues, le tourisme leur apporte un flux de visites, mais pour l'église de quartier seuls quelques habitués y passent s'y recueillir. Le reste du temps elles sont là, quaiment vides. J'ai aimé m'y reposer, méditer alors que de base, je ne suis même pas baptisé. J'y ai compris le sens des mots "sanctuaire", "paix". Je crois sincèrement que les lieux ont une mémoire, que les murs sont des éponges. Que ces lieux chargés d'Histoire nous parlent, s'il on prend la peine d'écouter., comme dans un songe.
IL ÉTAIT UNE FOI MARSEILLE
Travail commencé à l'hiver 2018 toujours en cours (wip).
Traîner dans les églises m'a donné une autre approche de la lumière. À chaque heure, son atmosphère. J'ai commencé à documenter ces endroits sans but précis. Partant du simple postulat que ma passion, la street photographie, documentation de la rue à son paroxysme avait pour point de départ les rues, méandres de la ville. Véritable système sanguin urbain irrigant chaque artère de vie et de cris, je me suis rendu compte que ces rues avaient, elles, pour point de départ une église. Ces bâtiments sont souvent les plus anciens d'un quartier, on a construit l'église puis les rues autour. Tout le monde les connaît, sans y faire attention. Pour les plus majestueuses, les plus connues, le tourisme leur apporte un flux de visites, mais pour l'église de quartier seuls quelques habitués y passent s'y recueillir. Le reste du temps elles sont là, quaiment vides. J'ai aimé m'y reposer, méditer alors que de base, je ne suis même pas baptisé. J'y ai compris le sens des mots "sanctuaire", "paix". Je crois sincèrement que les lieux ont une mémoire, que les murs sont des éponges. Que ces lieux chargés d'Histoire nous parlent, s'il on prend la peine d'écouter., comme dans un songe.