Transhumance en Cévennes
Chaque année, au mois de juin, Jean-Marie Velasco et Paul Reder partent en transhumance, à pieds, avec leurs troupeaux de brebis, des rouges du roussillon et des caussenardes des garrigues. Leur voyage démarre des basses plaines de l'Hérault, pour terminer une semaine plus tard en Lozère, au fin fond du parc national des Cévennes, sur le site de l'estive, perpétuant ainsi une tradition ancestrale qui a tendance à disparaitre.
Les déplacements se font le matin de bonne heure puis en fin d'après midi. Entre les deux, c'est la pause pour éviter les heures les plus chaudes de la journée, très contraignantes pour les hommes mais surtout pour les bêtes. Le soir, c'est le bivouac, en pleine nature, dans un décor sauvage et préservé. C'est un voyage hors du temps.
Transhumance en Cévennes
Chaque année, au mois de juin, Jean-Marie Velasco et Paul Reder partent en transhumance, à pieds, avec leurs troupeaux de brebis, des rouges du roussillon et des caussenardes des garrigues. Leur voyage démarre des basses plaines de l'Hérault, pour terminer une semaine plus tard en Lozère, au fin fond du parc national des Cévennes, sur le site de l'estive, perpétuant ainsi une tradition ancestrale qui a tendance à disparaitre.
Les déplacements se font le matin de bonne heure puis en fin d'après midi. Entre les deux, c'est la pause pour éviter les heures les plus chaudes de la journée, très contraignantes pour les hommes mais surtout pour les bêtes. Le soir, c'est le bivouac, en pleine nature, dans un décor sauvage et préservé. C'est un voyage hors du temps.