LA DERRIÈRE MARCHE POUR LE CLIMAT AVANT LES ELECTION DU 26 MAI
Le Mouvement Youth for Climate a initié ses sorties hebdomadaires dans les rues de Bruxelles il y a de ca 19 semaines. Aujourd hui, les motivations des manifestants sont claires et connues de tous. Par contre, le profil culturel des manifestants l est beaucoup moins, il n est jamais abordé dans les médias. Sujet sensible voire tabou.
Bruxelles est la 2ème ville la plus cosmopolite au monde, après Dubaï. Cette diversité d origine, énorme richesse de la ville, visible et vécue dans les classes et les rues, ne l a pas été dans les 19 manifestations pour le climat. Certaines écoles et quartiers sont à plus de 80% de population belge issue de l immigraion (arabes, chinois, congolais, turques, pakistanais, sénégalais, - - - ).
Pourquoi les marches Climat, ne reflètent-t-elles pas Bruxelles-la-multiculturelle ?
Auto-exclusion, absence de sentiment d appartenance à cette cause bien qu universelle, indifférence et manque d intérêt, une simple justification de la loi de Maslow ? ou - - - ?
La réponse est surement complexe et systémique. Mais le constat frappant du mono-profil, monoculture, la mono-origine des manifestants, s impose de lui-même et se met en exergue tout naturellement.
Par ailleurs, les médias nous montrent toujours les images de manifestants adultes et jeunes-adultes, mais très rarement les images de ceux qui sont nés en plein du réchauffement climatique : les enfants et les pré-adolescents.
Cette série met l accent sur les héritiers du fléau, l espoir de demain, ces enfants, garçons et filles, qui conscients que ce n est pas un jeu d enfant, ont choisi aujourd hui de zapper la plaine de jeu ou l écran de leurs PC, pour marcher pour le combat Climat.
LA DERRIÈRE MARCHE POUR LE CLIMAT AVANT LES ELECTION DU 26 MAI
Le Mouvement Youth for Climate a initié ses sorties hebdomadaires dans les rues de Bruxelles il y a de ca 19 semaines. Aujourd hui, les motivations des manifestants sont claires et connues de tous. Par contre, le profil culturel des manifestants l est beaucoup moins, il n est jamais abordé dans les médias. Sujet sensible voire tabou.
Bruxelles est la 2ème ville la plus cosmopolite au monde, après Dubaï. Cette diversité d origine, énorme richesse de la ville, visible et vécue dans les classes et les rues, ne l a pas été dans les 19 manifestations pour le climat. Certaines écoles et quartiers sont à plus de 80% de population belge issue de l immigraion (arabes, chinois, congolais, turques, pakistanais, sénégalais, - - - ).
Pourquoi les marches Climat, ne reflètent-t-elles pas Bruxelles-la-multiculturelle ?
Auto-exclusion, absence de sentiment d appartenance à cette cause bien qu universelle, indifférence et manque d intérêt, une simple justification de la loi de Maslow ? ou - - - ?
La réponse est surement complexe et systémique. Mais le constat frappant du mono-profil, monoculture, la mono-origine des manifestants, s impose de lui-même et se met en exergue tout naturellement.
Par ailleurs, les médias nous montrent toujours les images de manifestants adultes et jeunes-adultes, mais très rarement les images de ceux qui sont nés en plein du réchauffement climatique : les enfants et les pré-adolescents.
Cette série met l accent sur les héritiers du fléau, l espoir de demain, ces enfants, garçons et filles, qui conscients que ce n est pas un jeu d enfant, ont choisi aujourd hui de zapper la plaine de jeu ou l écran de leurs PC, pour marcher pour le combat Climat.