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Bangladesh : les forçats du thé
Avec 440 000 tonnes produites en 2025, le Bangladesh est le 8e pays producteur de thé à l’échelle mondiale. Une économie qui pèse plus de 3 milliards d’euros. Pourtant, rémunérés 1,23 euro par jour, les ouvriers des plantations de thé du Bangladesh figurent parmi les moins bien payés du pays, voire du monde.
Conditions de travail éprouvantes, accès limité à l’éducation et aux soins, logements insalubres : ces travailleurs, souvent issus de communautés historiquement marginalisées, restent piégés dans un système qui perpétue la pauvreté de génération en génération.
Aujourd’hui, syndicats et experts appellent le gouvernement intérimaire de Muhammad Yunus à engager des réformes.
Reportage à Sylhet, au Nord du Bangladesh, dans la plus ancienne plantation de thé du pays.
Bangladesh : modern slavery in tea gardens
With 440,000 tonnes produced by 2025, Bangladesh is the world's 8th largest tea-producing country. An economy worth over 3 billion euros. Yet at 1.23 euros a day, tea plantation workers in Bangladesh are among the lowest paid in the country, if not the world.
Harsh working conditions, limited access to education and healthcare, insalubrious housing: these workers, often from historically marginalized communities, remain trapped in a system that perpetuates poverty from generation to generation.
Today, trade unions and experts are calling on Muhammad Yunus' interim government to initiate reforms.
Report from Sylhet, in northern Bangladesh, on the country's oldest tea plantation.