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Après Callac, résistance militante en faveur du projet CADA de Saint-Brévin
Face à la police semblant se positionner en protection de militants d'extrême droite venus proférer leur haine vis à vis du projet CADA (Centre d'accueil de demandeurs d'asile), mais en l'absence de Gilbert Collard, finalement démissionnaire, 1200 militants de gauche (NPA, LFI, EELV, CVA22 et militants antifasciste du Pays Nantais), CGT, Ligue des droits de l'homme _ vs à peine 200 militants proche du parti Reconquête _ ont tenu un premier rassemblement le matin avec prises de paroles pour déclamer leur motivation sans faille à continuer de permettre l'accueil des demandeurs d'asile, dans le cadre du projet pré-cité. L'ensemble des militants a ensuite assuré sa présence non loin du rassemblement des militants d'extrême droite, intérrogeant la posture stoïque et brutale des forces de l'ordre.
After Callac, militant resistance in favor of the CADA project in Saint-Brévin
Faced with the police who seem to be positioning themselves to protect far-right activists who have come to utter their hatred of the CADA project (Centre for the reception of asylum seekers), but in the absence of Gilbert Collard, who finally resigned, 1200 left-wing activists (NPA, LFI, EELV, CVA22 and anti-fascist activists from the Pays Nantais), CGT, Human Rights League _ vs barely 200 activists close to the Reconquète party _ held a first rally in the morning with speeches to declaim their unfailing motivation to continue to allow the reception of asylum seekers, within the framework of the aforementioned project. All the activists then ensured their presence not far from the gathering of far-right activists, questioning the stoic and brutal posture of the police.
