Happening contre la fourrure lors d'un événement Berluti
À l'Hôtel Pereire, siège de la Fondation Simon et Cino del Duca, se tenait mercredi 22 janvier 2025 une réception organisée par la marque de souliers, de prêt-à-porter et de maroquinerie Berluti avec pour invité Lee Junho, chanteur, danseur et acteur sud-coréen.
Propriété de LVMH, cette marque, contrairement à d'autres, n'a pas encore retirée de ses collections la fourrure d'origine animale.
Averti·es de l'évènement, des membres du collectif SIPE (Stop à l'Impunité des Professionnels de l'Élevage) sont venu·es perturber l'arrivée de la star, suivie par plus de 7,6 million de personnes sur Instagram. À sa descente de voiture de nombreuses fans l'attendaient. Max a sorti un mégaphone, Carole une pancarte et Sophie son téléphone. Cette action s'ancre dans un mouvement international, débuté en novembre 2024, et s'ajoute aux nombreuses autres qui ont déjà eues lieu devant et dans les boutiques qui vendent des produits de la marque.
En multipliant les actions de dérangement et en maintenant régulièrement la pression sur la marque, les militant·es anti-spécistes souhaitent que celle-ci prenne la décision de stopper l'utilisation de fourrure pour ses collections.
Happening against fur at a Berluti event
On Wednesday January 22, 2025, at the Hôtel Pereire, headquarters of the Simon et Cino del Duca Foundation, the shoe, ready-to-wear and leather goods brand Berluti hosted a reception for South Korean singer, dancer and actor Lee Junho. Owned by LVMH, this brand, unlike others, has not yet removed animal fur from its collections.
Members of the SIPE collective (Stop à l'Impunité des Professionnels de l'Élevage) came to disrupt Lee Junho's arrival. Many fans were waiting for him as he got out of the car. To disrupt his arrival and thus damage the brand's image, Max took out a megaphone, Carole a placard and Sophie her phone.
This action is part of an international movement that began in November 2024, and adds to the many others that have already taken place in front of and in boutiques selling the brand's products.
By multiplying their disruptive actions and regularly keeping up the pressure on the brand, anti-species activists hope that the latter will take the decision to stop using fur.