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Vestiges industriel - Les mines de Bentaillou en Ariège
Le Biros est prospère et surpeuplé. Il faut deux écoles pour contenir les 200 élèves de la commune de Sentein. Les femmes s'occupent des propriétés agricoles et la plupart des hommes travaillent à la mine. D'une compagnie Britannique, la mine passe en 1913 aux mains d'une société française. Mais en 1926 les cours des métaux et surtout du zinc s'effondrent. S'instaure alors une gigantesque grève. L'extraction cesse et la mine ferme. Par chance, à cette époque, le chantier du barrage d'Araing a besoin de main d'oeuvre et beaucoup d'ouvriers y retrouvent du travail jusqu'en 1942. Année même où la mine est rouverte par l'Union Minière des Pyrénées. A nouveau les mineurs retrouvent leurs postes. 14 ans plus tard, c'est hélas la fermeture définitive qui enlève la richesse du Biros.
Deux tentatives de réouverture en 1963 et 1973 se soldent par des échecs.
Industrial remains - The mines of Bentaillou in Ariège
Biros is prosperous and overpopulated. It takes two schools to accommodate the 200 students in the municipality of Sentein. The women take care of the agricultural properties and most of the men work in the mines. From a British company, the mine passed into the hands of a French company in 1913. But in 1926 the prices of metals and especially zinc collapsed. A gigantic strike then ensues. Mining ceases and the mine closes. Luckily, at that time, the Araing dam site needed labor and many workers found work there until 1942, the same year when the mine was reopened by the Union Minière des Pyrénées. Once again the miners return to their posts. 14 years later, it is unfortunately the final closure that takes away the richness of Biros.
Two attempts to reopen in 1963 and 1973 ended in failure.