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Expulsion de familles Roms à Saint-Denis
Quatre familles ayant quitté le bidonville avenue du Président Wilson ont tenté de s'installer sur un terrain à St Denis appartenant à la SNCF et à SFR.
Ces familles comptent des enfants âgés de 2 mois, 18 mois, 4, 5 et 6 ans.
Au petit matin, un couple, accompagné d'un de leur trois enfants et une autre maman sortent du terrain pour aller chercher à manger.
A leur retour, ils trouvent le portail cadenassé et gardé par la Police et un agent de sécurité.
Ils n'ont plus le droit d'entrer.
S'ils veulent retrouver leur famille, alors ces dernières doivent évacuer le terrain.
Si les familles sortent, tous seront à nouveau à la rue.
Sur les photos, on voit une des maman tentant de rassurer ses enfants et leur parlant et leur donnant à manger à travers un trou de la porte.
Après plusieurs heures de négociations et d'attente la préfecture donne l'ordre aux policiers d'évacuer les familles du terrain.
L'évacuation se fait sans violence physique, mais quand est il de la violence psychologique après deux évacuations par les forces de l'ordre, en deux jours, avec très peu de sommeil et des difficultés pour s'alimenter ?
Expulsion de familles Roms à Saint-Denis
Quatre familles ayant quitté le bidonville avenue du Président Wilson ont tenté de s'installer sur un terrain à St Denis appartenant à la SNCF et à SFR.
Ces familles comptent des enfants âgés de 2 mois, 18 mois, 4, 5 et 6 ans.
Au petit matin, un couple, accompagné d'un de leur trois enfants et une autre maman sortent du terrain pour aller chercher à manger.
A leur retour, ils trouvent le portail cadenassé et gardé par la Police et un agent de sécurité.
Ils n'ont plus le droit d'entrer.
S'ils veulent retrouver leur famille, alors ces dernières doivent évacuer le terrain.
Si les familles sortent, tous seront à nouveau à la rue.
Sur les photos, on voit une des maman tentant de rassurer ses enfants et leur parlant et leur donnant à manger à travers un trou de la porte.
Après plusieurs heures de négociations et d'attente la préfecture donne l'ordre aux policiers d'évacuer les familles du terrain.
L'évacuation se fait sans violence physique, mais quand est il de la violence psychologique après deux évacuations par les forces de l'ordre, en deux jours, avec très peu de sommeil et des difficultés pour s'alimenter ?