A bord de Jolie brise
Jolie brise pratique un art dormant : 20 filets droits de 600 mètres sont posés, 24h plus tôt par 29 mètres de fond. Dans la nuit, au milieu des casiers en bois, sous les lumières crues, l'équipage guette la première relève de filet.
Dans ce reportage, j'ai souhaité confronter la rudesse et la beauté qui émane de l'univers de ces marins pêcheurs. C'est avant tout une histoire de respect entre ces guerriers de la mer et ceux qui la peuple.
Tantôt, de leur poigne ferme ils saisissent, tranchent, éventrent, morues, turbots et autre soles. Tantôt ils se battent contre la surpêche, soucieux des TAC (taux admissibles de capture) et de la sauvegarde de la biomasse. Ces poissons ils les tuent mais ils les préservent.
Embarquer à bord de Jolie brise, c'est être fasciné par ces hommes, ceux dont la majorité de l'existence se vit loin des leurs, loin de nous, au large, dans cette immensité imaginaire dont ils ne disent presque rien.
C'est observer le ballet des marins, leurs gestes précis et cadencés par les vagues et croiser le regard du poisson agonisant, en évitant les boyaux balancés par dessus bord.
Voyager à bord de Jolie brise, c'est une épopée puissante et poétique sur les traces d'Anita Conti et de Catherine Poulain.
A bord de Jolie brise
Jolie brise pratique un art dormant : 20 filets droits de 600 mètres sont posés, 24h plus tôt par 29 mètres de fond. Dans la nuit, au milieu des casiers en bois, sous les lumières crues, l'équipage guette la première relève de filet.
Dans ce reportage, j'ai souhaité confronter la rudesse et la beauté qui émane de l'univers de ces marins pêcheurs. C'est avant tout une histoire de respect entre ces guerriers de la mer et ceux qui la peuple.
Tantôt, de leur poigne ferme ils saisissent, tranchent, éventrent, morues, turbots et autre soles. Tantôt ils se battent contre la surpêche, soucieux des TAC (taux admissibles de capture) et de la sauvegarde de la biomasse. Ces poissons ils les tuent mais ils les préservent.
Embarquer à bord de Jolie brise, c'est être fasciné par ces hommes, ceux dont la majorité de l'existence se vit loin des leurs, loin de nous, au large, dans cette immensité imaginaire dont ils ne disent presque rien.
C'est observer le ballet des marins, leurs gestes précis et cadencés par les vagues et croiser le regard du poisson agonisant, en évitant les boyaux balancés par dessus bord.
Voyager à bord de Jolie brise, c'est une épopée puissante et poétique sur les traces d'Anita Conti et de Catherine Poulain.