The hope to exist
Le 13 Septembre 1993, lors des accords d?Oslo, la zone de pêche pour les gazaouis est définie à 20 Miles nautiques. Cependant et depuis ces accords, la territorialité maritime n?a jamais été respectée. Passant en Octobre 2006 à six miles nautiques et finalement à trois miles nautiques en Janvier 2009.
Le 24 Novembre 2012, après le cessez-le-feu entre Israël et la bande de Gaza, les restrictions imposées aux pêcheurs de Gaza par le blocus naval israélien ont été assouplies. Permettant officiellement d?étendre de trois à six miles nautiques. Mais la réalité est tout autre, la zone de pêche est constamment remise en question et pratiquement jamais respectée.
Le problème de l'eau potable à Gaza est un problème majeur. Les problèmes de densité de population liés au traitement des déchets rendent encore plus complexe cette importante problématique. Officiellement, Israël fournit de l?eau par l?intermédiaire de la National Water Carrier of Israel mais en réalité, il est difficile de déterminer où va cette eau. Quotidiennement, la plupart des familles n?ont aucune eau courante et l?eau chaude est un luxe.
On tente tant bien que mal de récupérer les eaux de pluie et le plus souvent, les réserves d?eaux souterraines sont polluées.
De nombreux instituts de recherches internationaux ont établis depuis plusieurs années que l?eau était impropre à la consommation humaine dans la bande de Gaza.
Malgré cette alerte au niveau international, pratiquement rien ne change sur le terrain.
Le soutien international est évidemment présent sur la bande de Gaza mais ce que la population de Gaza espère vivement, c?est une position politique ferme contre le blocus imposé par Israël.
Le programme de l?UNRWA permet de fournir une assistance efficace dans les domaines de l'éducation, de la santé et des services sociaux principalement.
La présence de l'Organisation des Nations Unies est clairement visible dans la vie quotidienne des habitants de Gaza.
Le réseau associatif sur le territoire de la bande de Gaza est extrêmement actif et relayée à l'échelle internationale également. Fournissant là aussi un moyen de médiatiser le problème rencontré par le peuple palestinien.
Par exemple, l'association "Hanan for cultural and social development", basé dans le camp de réfugiés de Nuseirat, en collaboration avec l'association belge "Le Monde des possibles" et la Fondation "Anna Lindh" est en train de mettre sur pied un projet de Parlement des enfants pour accroître les échanges entre les enfants de Gaza et les enfants européens. L'objectif est d'ouvrir le débat et de fournir la liberté d'expression sur des questions telles que la citoyenneté et les droits humains.
Malgré ce quotidien épuisant, le peuple palestinien tente de s?unir afin de trouver une solution à ce conflit qui brise et fait souffrir tant de familles.
Tout fait défaut ou presque, mais la vie continue. Une volonté incroyable anime toutes les générations, ils espèrent être reconnu et l'espoir, un jour, de vivre comme des hommes libres.
The hope to exist
A few weeks after the last bombardments on Gaza, life trying to recover.
The destroyed buildings are almost all rebuilt, however, some traces are still visible. Most promises are not respected. The fishing area is not expanded steadily, hospitals are desperately short of medecine, electrics cuts are still too frequent.
On September 13th 1993, during the Oslo Accords, the fishing area for Gazans is set at 20 nautical miles. However, and since these agreements, maritime territory has never been respected. Passing in October 2006 to six nautical miles and finally to three nautical miles in January 2009.
On November 24th 2012, following the cease-fire between Israel and Gaza, the restrictions imposed by the Israeli naval blockade of Gaza fishermen have been eased. Allowing officially to increase from three to six nautical miles. But the reality is quite different, the fishing area is constantly in question and virtually never respected.
The problem of potable water in Gaza is a major problem. The population density problems related to waste treatment make even more complex this major problematic.
Officially, Israel supplied water via National Water Carrier of Israel but in fact, it is difficult to determine where the water goes. Daily, few families have running water and even less hot water. Most attempt to recover rainwater; groundwater reserves are increasingly polluted.
Many international research institutes have been established for many years that the water was unfit for human consumption in the Gaza Strip.
Despite its put on alert at the international level, almost nothing changes on the ground.
International support is obviously present on the Gaza Strip, but that the Palestinian people hopes and expects, it is a political stance against the blockade imposed by Israel.
The UNRWA program allows to provide effective assistance in the fields of education, health and social services mainly.
The presence of the United Nations is clearly visible in the daily lives of Gazans.
The associative network in the territory of the Gaza Strip is extremely active and relayed internationally also. Providing a means to mediatize the problem faced by the Palestinian people.
For example, the association "Hanan for cultural and social development", based in the Nuseirat refugee camp, in collaboration with the Belgian association "Le monde des possibles" and the foundation "Anna Lindh" are currently putting on a project of Children's Parliament to increase exchanges between Gaza children and European children. The goal is to open the debate and provide freedom of speech on issues such as citizenship and human rights.
Despite this exhausting daily, the Palestinian people tries to unify to find a solution to this conflict that wears and breaks so many families. Everything is lacking or almost but life continues. An incredible willingness anime all generations, they hope to be recognized and hope, one day, to live as free men.