Taybeh, Des chretiens solidaire avec Gaza
le Père Bashar ? latin- déplore
que « tous les regards soient tournés vers le même endroit ? Gaza, ce qui fait oublier
Jérusalem, et les villages occupés de Cisjordanie » - comme le sien. Devant l?église, le petit
Jésus est déposé dans un décors de ruines. Immeubles effondrés, roquettes fichées dans le
sable, hélicoptères et anges survolant la scène. « Notre crèche dit la réalité. Et nous, chrétiens,
devons dire la vérité. Car même l?Église ne le fait pas parce qu?elle se tait. Pendant 70 jours,
le pape n?a rien dit. Moi je dis que le génocide ne date pas du 7 octobre. Que tout cela est
juste une nouvelle étape dans le processus. Que c?est Noël, et qu?on ne peut pas juste se taire
ou mourir ».
Taybeh, Christians in solidarity with Gaza
Father Bashar - a Latin priest - deplores the fact that
that "all eyes are focused on the same place - Gaza, which makes us forget
Jerusalem, and the occupied villages of the West Bank" - like his own. In front of the church, little
Jesus is laid in a scene of ruins. Collapsed buildings, rockets stuck in the sand, helicopters
helicopters and angels flying overhead. "Our cot tells the real story. And we Christians
must tell the truth. Because even the Church doesn't because it keeps silent. For 70 days
the Pope has said nothing. I say that the genocide did not start on 7 October. That all this is
just another stage in the process. It's Christmas, and we can't just keep quiet or die.