Le cercle vicieux de l'écologie et du tourisme au Lac Baikal
Le Baikal, avec sa superficie de 31722 km2 constitue la plus grande réserve d'eau douce liquide à la surface de la Terre. Bien que sacrée par sa population Bouriate (premiers habitants d'origine Mongole), la perle de Sibérie, rencontre dorénavant des problématiques majeures de pollution.
Une pollution qui s'installe dans son eau mais également sur le sol et l'air, enfermant petit à petit le Baikal.
Face à cette problématique grandissante, plusieurs parties du lac et alentours furent désignés en parcs nationaux amenant une grande quantité de touristes accompagnés de leurs déchets, comme l'Oblast d'Irkutsk et le parc national de Pribaikalsky.
Comme malheureusement tout pays ayant dû mettre en place des systèmes de preservation, les populations se retrouvent confrontées à un changement radical de leurs habitudes et traditions, les amenant à s'ouvrir à certaines activités allant à l?encontre de cette protection écologique.
The vicious circle of ecology and tourism at Lake Baikal
With a surface area of 31722 km2, the Baikal is the largest reserve of liquid freshwater on the Earth's surface. Although sacred to its Buryat population (first inhabitants of Mongolian origin), the pearl of Siberia is now facing major pollution problems.
Pollution is settling not only in the water, but also in the soil and air, gradually sealing off the Baikal.
Faced with this growing problem, several parts of the lake and surrounding area have been designated national parks, attracting large numbers of tourists and their waste, such as Irkutsk Oblast and Pribaikalsky National Park.
Unfortunately, as with any country that has had to set up preservation systems, the local population is faced with a radical change in their habits and traditions, leading them to open up to certain activities that run counter to this ecological protection.