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#STOPLOISECURITEGLOBALE
Comme dans plusieurs villes de France, plusieurs rassemblements ont eu lieu contre la proposition de loi "sécurité globale" organisés par plusieurs structures dont les syndicats de journalistes, des ONG comme la ligue des droits de l'homme, le collectif Reporters en Colère, le Syndicat des Avocats de France, le syndicat de la magistrature, la fondation Copernic entre autre et des associations luttant pour les libertés. A Toulouse, c'est au monument des anciens combattants que tout a eu lieu suite à l'interdiction de la préfecture de rester place Saint Etienne. Il y a eu de multiples prises de paroles concernant cette proposition de loi jugée comme une atteinte à notre démocratie. L'article 24 entre autre prévoit une interdiction de diffusion sur les réseaux sociaux d'images de policiers et de gendarmes reconnaissables dès lors que leur atteinte physique et physique est mise en jeu, d'autres articles comme l'usage des drones permettant la reconnaissance faciale de masse ainsi que les cameras piétons posent question. Dans le contexte de confinement que connait la France actuellement, l'ensemble des représentants du rassemblement ne comprennent pas la procédure accélérée mise en oeuvre, l'ensemble des déclarations faites par le ministre de l'intérieur Gérald Darmanin notamment sur la question du floutage des forces de l'ordre qui n'apparait pourtant pas dans cet article. Cette proposition de loi est considérée comme une atteinte aux libertés fondamentales qui sont le socle de toute démocratie. C'est vers 19h alors que le rassemblement se termine dans le calme qu'un groupe de personnes présentes sur place décident de continuer de manifester. Les forces de l'ordre en présence ont dispersé le groupe en début de soirée.
#STOPLOISECURITEGLOBALE
Comme dans plusieurs villes de France, plusieurs rassemblements ont eu lieu contre la proposition de loi "sécurité globale" organisés par plusieurs structures dont les syndicats de journalistes, des ONG comme la ligue des droits de l'homme, le collectif Reporters en Colère, le Syndicat des Avocats de France, le syndicat de la magistrature, la fondation Copernic entre autre et des associations luttant pour les libertés. A Toulouse, c'est au monument des anciens combattants que tout a eu lieu suite à l'interdiction de la préfecture de rester place Saint Etienne. Il y a eu de multiples prises de paroles concernant cette proposition de loi jugée comme une atteinte à notre démocratie. L'article 24 entre autre prévoit une interdiction de diffusion sur les réseaux sociaux d'images de policiers et de gendarmes reconnaissables dès lors que leur atteinte physique et physique est mise en jeu, d'autres articles comme l'usage des drones permettant la reconnaissance faciale de masse ainsi que les cameras piétons posent question. Dans le contexte de confinement que connait la France actuellement, l'ensemble des représentants du rassemblement ne comprennent pas la procédure accélérée mise en oeuvre, l'ensemble des déclarations faites par le ministre de l'intérieur Gérald Darmanin notamment sur la question du floutage des forces de l'ordre qui n'apparait pourtant pas dans cet article. Cette proposition de loi est considérée comme une atteinte aux libertés fondamentales qui sont le socle de toute démocratie. C'est vers 19h alors que le rassemblement se termine dans le calme qu'un groupe de personnes présentes sur place décident de continuer de manifester. Les forces de l'ordre en présence ont dispersé le groupe en début de soirée.