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Frontière Pologne - Biélorussie : base arrière de la fondation Ocalénie
"Le problème le plus fréquent, c'est l'hypothermie." Tomek est polonais, et est arrivé à Sokólka il y a quelques jours. Cet activiste de la fondation Ocalenie est marqué par la fatigue de longues nuits d'attente, rythmées par des "interventions" inopinées ; qui parfois ne surviennent pas. Kulka elle - c'est son pseudonyme - travaille sur son ordinateur. "Il faudrait éviter de montrer l'écran, il y a des infos juridiques un peu sensible."
Le petit groupe opère des opérations de secours depuis un logement discret, loué pour l'occasion. Tout l'équipement nécessaire aux besoins vitaux des réfugiés à la frontière est stocké dans un garage : produits d'hygiènes, sacs de couchages, vêtements chauds, nourriture lyophilisée... De même, une voiture est toujours prête à partir, équipée pour porter assistance à douze personnes. C'est une affaire de réactivité.
Poland-Belarus border: rear base of the Ocalenie foundation
"The most common problem is hypothermia." Tomek is Polish, and arrived in Sokólka a few days ago. This activist of the Ocalenie Foundation is marked by the fatigue of long nights of waiting, punctuated by unexpected "interventions"; which sometimes do not happen. Kulka - this is her pseudonym - works on her computer. "We should avoid showing the screen, there is some legal information a little sensitive."
The small group operates from a discreet accommodation, rented for the occasion. All the equipment necessary for the vital needs of the refugees at the border is stored in a garage: hygiene products, sleeping bags, warm clothes, freeze-dried food... Similarly, a car is always ready to leave, equipped to assist twelve people. It's a matter of reactivity.