Anne-Sophie Tuszinsky, fondatrice de Cancer@work et Kepler HR.
«Le cancer m?a donné l?audace de m?engager et d?entreprendre» dit calmement Anne-Sophie Tusyznski, 45 ans, trois beau enfants et un mari solide. Survivre au cancer est une épreuve dont on peut ressortir plus fort et elle veut que cette force soit valorisée par l?entreprise.
Pendant 15 ans chez Vedior (Travail intérimaire) elle s?est appliqué à concilier le développement des sociétés avec l?épanouissement des employés, elle a toujours souhaité que l?humain soit le véritable «capital des entreprise». En 2008 elle devient «chasseur de tête» au sein du cabinet VMS.
Mars 2011, tout bascule, elle découvre son cancer du sein et en fait aussitôt part à son employeur. Ensemble ils organisent son remplacement pour la durée du traitement.
Du fait de ses compétences elle est très souvent questionnée sur la problématique cancer et travail par d?autres patients lors des longues périodes hospitalières. De retour au travail en janvier 2012, ses clients chez VMS, lui demandent des conseils informels sur la problématique du cancer.
En France 1000 personnes chaque jour apprennent qu?elles ont un cancer dont 400 sont en activité professionnelle. Il n?existe pas de structure d?accompagnement alors que le travail est le premier facteur d?intégration sociale qui est une des clefs importante de la guérison.
Elle négocie alors sont départ et le 22 novembre 2012 marque la naissance de Cancer@Work.
Très rapidement Philippe Salle, alors PDG d?Altran s?engage et devient le président de l?association Cancer@work. Suivront Les laboratoires ROCHE, la SNCF, Novartis, Elior, AXA...En trois ans d?existence, ce sont plus de 10 entreprises, 3000 salariés qui ont exprimé leurs attentes, et 300 000 personnes sensibilisées.
« Je ne crois pas au solutions clefs-en-main, chaque entreprise est différente, les équipes sont différentes et je veux que ce soient les salariés qui trouvent les meilleurs solutions pour les salariés» Anne-Sophie définit Cancer@Work comme un «club» d?entreprises qui s?engagent, autour d?une charte, à mettre en place une politique de sensibilisation et d?action sur la problématique du cancer. Cancer@Work a réalisé en 2014 le premier baromètre de la perception du cancer au travail.
En 2015, elle a développé au sein de son propre cabinet conseil KeplerHR une offre de service pour accompagner les entreprises et les personnes confrontées à la maladie: wecare@work.
Elle a mis en place des job-dating entre des entreprises et des anciens malades qui ont porté leurs fruits et permis le retour à l?emploi d?une quinzaine de personnes.
Anne-Sophie Tuszinsky, fondatrice de Cancer@work et Kepler HR.
«Le cancer m?a donné l?audace de m?engager et d?entreprendre» dit calmement Anne-Sophie Tusyznski, 45 ans, trois beau enfants et un mari solide. Survivre au cancer est une épreuve dont on peut ressortir plus fort et elle veut que cette force soit valorisée par l?entreprise.
Pendant 15 ans chez Vedior (Travail intérimaire) elle s?est appliqué à concilier le développement des sociétés avec l?épanouissement des employés, elle a toujours souhaité que l?humain soit le véritable «capital des entreprise». En 2008 elle devient «chasseur de tête» au sein du cabinet VMS.
Mars 2011, tout bascule, elle découvre son cancer du sein et en fait aussitôt part à son employeur. Ensemble ils organisent son remplacement pour la durée du traitement.
Du fait de ses compétences elle est très souvent questionnée sur la problématique cancer et travail par d?autres patients lors des longues périodes hospitalières. De retour au travail en janvier 2012, ses clients chez VMS, lui demandent des conseils informels sur la problématique du cancer.
En France 1000 personnes chaque jour apprennent qu?elles ont un cancer dont 400 sont en activité professionnelle. Il n?existe pas de structure d?accompagnement alors que le travail est le premier facteur d?intégration sociale qui est une des clefs importante de la guérison.
Elle négocie alors sont départ et le 22 novembre 2012 marque la naissance de Cancer@Work.
Très rapidement Philippe Salle, alors PDG d?Altran s?engage et devient le président de l?association Cancer@work. Suivront Les laboratoires ROCHE, la SNCF, Novartis, Elior, AXA...En trois ans d?existence, ce sont plus de 10 entreprises, 3000 salariés qui ont exprimé leurs attentes, et 300 000 personnes sensibilisées.
« Je ne crois pas au solutions clefs-en-main, chaque entreprise est différente, les équipes sont différentes et je veux que ce soient les salariés qui trouvent les meilleurs solutions pour les salariés» Anne-Sophie définit Cancer@Work comme un «club» d?entreprises qui s?engagent, autour d?une charte, à mettre en place une politique de sensibilisation et d?action sur la problématique du cancer. Cancer@Work a réalisé en 2014 le premier baromètre de la perception du cancer au travail.
En 2015, elle a développé au sein de son propre cabinet conseil KeplerHR une offre de service pour accompagner les entreprises et les personnes confrontées à la maladie: wecare@work.
Elle a mis en place des job-dating entre des entreprises et des anciens malades qui ont porté leurs fruits et permis le retour à l?emploi d?une quinzaine de personnes.