ZARAGOZA BOXING GYM
Et c'est dans dans La Myrtle Avenue, dans le 893 Broadway, au troisième étage d'un vieil immeuble de quatre étages, qui se cache comme un secret, le Boxing Club Saragoza.
L'histoire Wilson Ramirez Bena, le proprietaire, est la même que celle de nombreux New-Yorkais nés au Mexique. "J'ai vécu dans l'obscurité la plupart de ma vie. J'ai plus de 50 ans et seulement depuis les dix dernières années j'ai des papiers".
Bena, a ouvert le club de Box dans les années 80, et l'a appellé Le Zaragoza, en honneur à Daniel le "Raton Zaragoza", le champion des poids coq mexicain qui au début de sa carrière perdait toujours ses combats.
Une fois, il perda d'une manière si moche, que les gens n'ont cru plus en lui. Mais un jour, il renaquit de ses cendres. Grâce à son courage, il est devenu le grand champion de la catégorie poids légers WBC.
ZARAGOZA BOXING GYM
Et c'est dans dans La Myrtle Avenue, dans le 893 Broadway, au troisième étage d'un vieil immeuble de quatre étages, qui se cache comme un secret, le Boxing Club Saragoza.
L'histoire Wilson Ramirez Bena, le proprietaire, est la même que celle de nombreux New-Yorkais nés au Mexique. "J'ai vécu dans l'obscurité la plupart de ma vie. J'ai plus de 50 ans et seulement depuis les dix dernières années j'ai des papiers".
Bena, a ouvert le club de Box dans les années 80, et l'a appellé Le Zaragoza, en honneur à Daniel le "Raton Zaragoza", le champion des poids coq mexicain qui au début de sa carrière perdait toujours ses combats.
Une fois, il perda d'une manière si moche, que les gens n'ont cru plus en lui. Mais un jour, il renaquit de ses cendres. Grâce à son courage, il est devenu le grand champion de la catégorie poids légers WBC.